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 Kazuma Ren - Moi, je peux avoir mal.

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Kazuma Ren

feat. Kato Shigeaki


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ÂGE & SEXE
J’ai 23 ans et je suis un homme

ORIGINE
né le 22 novembre 1990 à ville, à Tokyo

EMPLOI / ETUDES
Je suis serveur dans un café

SITUATION ACTUELLE
en deuil, anciennement fiancé

GROUPE & PARTICULARITÉS
✘Frat'Boys (je vais vous découper les doigts un par un en riant)

Player Profile
Pseudo: Me’ow
Age :19 ans
Comment avez-vous découvert le forum ? : Grâce à une bonne source d’amidon.
Présence : Autant que possible
Petit mot gentil/Avis sur le forum/commentaire/blabla : J’aime beaucoup le contexte, faut faire vivre tout ça les gens !
Avez-vous bien lu le règlement ? : Oui ! [Code validé]


Histoire J’aimerais pouvoir raconter mon histoire en évitant quelques éléments troublants ou dérangeants. Malheureusement, sans ces évènements, je ne serais jamais devenu celui que je suis aujourd’hui.

Nous passerons rapidement sur mon enfance plutôt banale, sur mon arrivée en Corée à l’âge d’environ 5 ans, lorsque mes parents ont décidé de venir vivre à la capitale pour je ne sais quelle raison. Nous oublierons les évènements les plus simples comme mes premiers pas, mes premiers cours, mon apprentissage laborieux d’une langue qui n’était pas ma langue maternelle et les études que j’ai décidé d’arrêter une fois le lycée terminée car, visiblement, je n’étais pas fait pour aller plus loin. Nous oublierons tout cela pour arriver au moment où ma vie avait pris un tournant plus sombre et bien moins réjouissant.

Je n’ai jamais été des enfants les plus heureux. Mes parents se disputaient souvent, ils mettaient beaucoup de pression sur moi et ils faisaient partie de ceux qui, si leurs enfants ne réussissent pas, deviennent facilement exécrables et disent des choses horribles à leur progéniture… Bref, rien de très bon pour l’égo. En plus de tout cela, ils m’ont élevé de sorte que je pense que rien n’arrive par hasard. Si je ratais, c’était que je le méritais, que je n’étais pas adapté aux règles qui m’entouraient. On le comprendra bien vite, ma vie n’était pas un long fleuve tranquille et les idées noires pavaient mon chemin tandis que je voyais d’autres personnes suivre un chemin pavé de briques d’or…

Alors que je touchais le fond du gouffre, à environ 20 ans, loin d’avoir réussi mes études, loin d’avoir réussi à trouver un travail convenable, notamment à cause du manque de confiance en moi et des choses qui m’arrivaient constamment (sans oublier mes parents qui me rappelaient avec plaisir ô combien leur fils était un incapable), j’ai fait ce qui restera sans doute la plus belle rencontre de ma vie. Une jeune femme dont je suis tombé éperdument amoureux, sans doute parce qu’elle me donnait, pour une fois, l’impression d’exister, l’impression d’être là pour moi et d’avoir besoin de moi.

Les choses avaient commencé à aller un peu mieux, cette impression de vide et d’inutilité disparaissait lentement, si bien que, au bout de deux ans, j’ai pris mon courage à deux mains pour en faire ma fiancée. C’était, aux yeux de mes parents, une grande et agréable nouvelle : leur fils faisait un pas de plus dans sa vie, il changeait, peut-être allait-il enfin prendre sa vie en main et reprendre des études. Seulement voilà, elle est tombée malade quelques mois plus tard et, même si elle combattait cela bravement, j’avais l’impression que tout n’irait pas pour le mieux.

Au bout d’un an environ, elle a du être hospitalisée, période pendant laquelle j’allais la voir tous les jours. Je passais beaucoup de temps dans sa chambre, à discuter avec elle, à l’écoute me raconter ce qu’elle vivait, même si ce n’était pas forcément facile, d’autant plus que son traitement était lourd et difficile à supporter. Quand, au bout de quelques mois supplémentaires, j’ai appris qu’elle était en rémission, ma joie a été des plus grandes. Cependant, elle devait rester à l’hôpital pour quelques temps, disaient les médecins, pour surveiller son état… De ce fait, mes visites continuaient, mais je préparais son retour avec une impatience folle. C’est alors que tout a changé.

Ce jour là, je n’avais pas pu aller rendre visite à ma fiancée. Sa sortie approchait à grand pas, j’avais redoublé d’intensité dans mes préparations : un repas ensemble, toutes ces choses qui auraient pu me permettre de l’accueillir à la maison avec plus de facilité et qui auraient pu rendre l’endroit meilleur…  

Rien n’arrive par hasard.

Il y a eu cet accident à l’hôpital, l’hôpital dont elle aurait du sortir le lendemain ou le surlendemain. Pour la première fois de ma vie, j’aurais souhaité qu’elle soit malade, j’aurais souhaité qu’elle reste à l’hôpital, qu’elle survive parmi ceux qui étaient encore vivant grâce à leur mal… Mais elle n’était plus là… Pourquoi avait-il fallu qu’elle meure là ? Pourquoi d’une manière aussi horrible ? C’était une comme un message qui m’était passé. Je n’étais pas là pour rien. Je n’étais pas là pour regarder les autres accepter ces calamités qui tentaient de s’intégrer à nous… et dans quel but ? Atteindre un but suffisamment large que pour nous anéantir comme ils l’avaient fait avec elle et tous ces autres ?

Après cette découverte, après avoir enfin trouvé la raison pour laquelle j’étais là depuis le début (je ne suis pas là par hasard, moi non plus) j’ai pris ma vie en main, pour le plus grand plaisir de mes parents. J’ai fait des pieds et des mains pour trouver un travail, travail que j’ai décroché il y a quelques semaines, dans un café du voisinage, et j’ai commencé à tenter de faire comprendre à ces maudits cadavres qu’ils ne sont pas les bienvenus. Ils ne connaissent peut-être pas la douleur, mais je vais leur faire payer la mienne.
Caractère
Dans le fond, je ne suis pas une mauvaise personne. Du moins, ce n’est pas l’impression que je donne de moi-même lorsque l’on me parle dans la vie de tous les jours. Cependant, depuis quelques temps, les choses ont changé. Je suis poli, courtois, je passe mon temps à aider les autres, mais tout dépend des autres dont il est question. En effet, si vous êtes un zombie, vous avez peu de chance de passer la case « rencontre » avec moi… Je veux surtout dire que vous risquez d’en garder un mauvais souvenir, comme des insultes ou des méchancetés que vous garderez en mémoire jusqu’à la fin de vos… Ah c’est vrai, vous êtes déjà morts, excusez-moi de vous le rappeler.

Tout ça pour dire que je n’ai pas envie de me mêler à des pseudo-humains qui, ne nous le cachons pas, ont certainement envie de nous aspirer le cerveau avec une paille de fer. Si c’est la manière dont je perçois la masse zombique ? Tout à fait.

Tout ça pour dire que je ne suis pas du genre à cacher mon aversion pour ces êtres dont la place se situe à la morgue, dans un cercueil ou au milieu des cendres répandues dans l’herbe d’un cimetière ! Je suis du genre cash, je ne m’en cache pas et, pour tout dire, je prends un malin plaisir à leur montrer qu’ils ne sont pas les bienvenus. Il faut dire que j’ai toutes les raisons du monde de détester ces gens… Ils sont tellement odieux, vous imaginez, vous balader dans une ville où pullulent les gens dont le cœur ne bats plus ? Bref. Je n’aime pas les zombies et tout le monde l’aura compris.

Pour le reste, je suis quelqu’un de plutôt calme. Je ne bois pas, je ne fume pas, car depuis quelques temps j’ai une grande peur de me retrouver à l’hôpital ou dans un endroit dont je ne pourrai pas m’échapper en cas d’attaque comme celle qui a eu lieu récemment. Je suis du genre studieux, en particulier lorsqu’il s’agit d’observer le comportement des autres et de chercher de meilleurs moyens de détruire cette masse qui devrait normalement être morte. Bref… Vous comprendrez bien vite.

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Lee Seung Hyun
Little Crazy Potatoe Admin

Lee Seung Hyun

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Je te l'ai déjà dit sur skype, mais... j'adore ta fiche. Déjà : ENFIN UN FRAT'BOY ! *so happy*  :94: 
Ensuite, vu son caractère et son histoire, ça va enfin devenir intéressant !
Le pauvre Renou... il a vraiment pas eu une vie facile.

Bref, j'aime toujours ta manière d'écrire, et les parties de sa vie que t'as pas mentionnées me donnent envie d'en savoir plus ! èé


Kazuma Ren - Moi, je peux avoir mal. 85184672386484


Well done ! Tu es validé !


Félicitations ! Te voilà validé !

Il ne te reste plus qu'à :

poster ta fiche de relation

faire ta demande de logement

Et le plus important, RP !


Have Nice Game on CSEMV !

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